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Les problèmes intestinaux

Les problèmes intestinaux sont malheureusement très courants et peuvent toucher absolument tout le monde, quel que soit l’âge ou le mode de vie. En effet, que l’on soit un enfant, un adolescent, un adulte ou une personne âgée, ces troubles peuvent survenir à n’importe quel moment de la vie. 

Ils peuvent entraîner de nombreux inconforts qui perturbent notre quotidien et, par conséquent, impacter notre qualité de vie. Par exemple, les douleurs abdominales, les ballonnements, la constipation ou encore la diarrhée sont autant de symptômes désagréables qui peuvent rendre nos journées difficiles et nuire à notre bien-être.

Cependant, il est important de savoir que ces problèmes intestinaux peuvent souvent être évités ou traités efficacement avec les bonnes connaissances et les bons comportements. 

C’est dans cette optique que cet article est rédigé. Tout d’abord, il explore les principaux troubles intestinaux, comme la constipation, la diarrhée, le syndrome de l’intestin irritable (SII) et bien d’autres encore.

Ensuite, pour chaque problème, il décrit les symptômes courants, les causes possibles, ainsi que les moyens de les traiter. De plus, il donne des conseils pratiques et des astuces simples pour prévenir ces désagréments. En effet, une bonne hygiène de vie, une alimentation équilibrée et une hydratation adéquate sont quelques-unes des clés pour maintenir vos intestins en bonne santé.

Table des matières

La constipation, l’un des problèmes intestinaux les plus courants

Elle se manifeste par des difficultés à évacuer des selles trop dures, trop sèches. Parfois, les selles sont rares, avec moins de trois évacuations par semaine. Ce problème intestinal peut affecter tout le monde à un moment donné.

1. Les symptômes de ces problèmes intestinaux

Les symptômes de la constipation, un des problèmes intestinaux courants, sont faciles à reconnaître. D’abord, les selles sont difficiles à évacuer puisque, nous l’avons vu au-dessus, les selles sont dures et sèches. Ensuite, des douleurs abdominales et des ballonnements peuvent se manifester. Il n’est pas rare de ressentir une sensation d’évacuation incomplète. Enfin, la fatigue et l’irritabilité peuvent être des conséquences indirectes de ce problème intestinal.

2. Les causes de ces problèmes intestinaux

Les causes de la constipation sont variées :

3. Les solutions naturelles pour ces problèmes intestinaux

D’abord, il est essentiel de boire beaucoup d’eau. Cela aide à ramollir les selles, ce qui est crucial pour résoudre les problèmes intestinaux. 

Ensuite, une alimentation riche en fibres est recommandée, comme celles trouvées dans le psyllium et le son. En effet, elles améliorent la constipation en augmentant le volume des selles et en facilitant leur passage. Des études montrent qu’elles sont efficaces pour la plupart des personnes souffrant de constipation occasionnelle ou chronique.

Augmentez également votre consommation de fruits, de légumes, de graines et de légumineuses pour améliorer le transit intestinal.

Il est aussi utile de créer une routine pour aller à la selle à des heures régulières, de préférence après les repas. 

Les laxatifs naturels comme les pruneaux sont également efficaces. Aussi, pensez aux graines de lin ou de chia : broyées, à saupoudrer sur vos plats et salades. 

De plus, il est crucial de gérer le stress, car il aggrave les problèmes intestinaux. Des techniques de relaxation comme la méditation ou la respiration profonde peuvent aider.

Ne pas oublier l’activité physique. Elle joue un rôle important dans la prévention des problèmes intestinaux. Marcher, courir peut stimuler les intestins. 

Aussi, le yoga peut vous aider. Privilégiez une forme de yoga vous faisant faire des torsions qui vont venir masser les organes internes et stimuler naturellement le transit.

Autre piste, le massage du Chi Nei Tang. Véritable massage viscéral profond, il détend les tensions, « débouche les canalisations ». Il travaille directement sur les organes internes. De ce fait, il peut favoriser une meilleure digestion et soulager les ballonnements ou encore la constipation.

Enfin, un tout dernier conseil peut être de prendre un bain chaud au sel d’Epsom. Le magnésium qu’il contient entrera par les pores de la peau. Ainsi, il viendra agir non seulement sur la constipation, mais également le stress.

4. Les compléments alimentaires 

Côté compléments alimentaires, la chlorophylle est intéressante. Elle contient les pigments verts des végétaux qui viennent balayer et assainir naturellement l’intestin. On peut aussi la trouver dans les végétaux et en quantité plus conséquente via les jus de légumes verts.

De plus, les probiotiques, en particulier Bifidobacterium lactis et Lactobacillus rhamnosus, ont montré dans plusieurs études qu’ils pouvaient améliorer la régularité intestinale et soulager la constipation. Ils favorisent un équilibre sain du microbiote intestinal.

Autre possibilité, le psyllium blond à diluer dans l’eau. Ce sont des fibres qui gonflent dès lors qu’on les met dans l’eau et forment un gel qui va aider le transit. Par contre, il est important de bien bien s’hydrater pour ne pas aggraver la constipation, car il absorbe l’eau. Parfois, il provoque des problèmes intestinaux comme des ballonnements. Par conséquent, il faut tester ! 

Une autre piste intéressante peut être la prise de magnésium. En effet, il peut également être votre allié dans les problèmes intestinaux. Il en existe plusieurs formes. Bien que moins assimilable que les autres, le magnésium marin est particulièrement recommandé pour la constipation car il stimule le transit. Aussi, le citrate de magnésium, est utilisé comme laxatif. Il fonctionne en attirant l’eau dans l’intestin, ce qui ramollit les selles et facilite leur passage.

A ne surtout pas négliger, les acides gras oméga-3 présents dans l’huile de poisson. Ils peuvent aider à lubrifier les intestins et favoriser le transit intestinal. Bien que moins étudié que d’autres options, il existe des preuves de leur efficacité pour certaines personnes. On ne le dira jamais assez : consommez des petits poissons gras (sardines, maquereaux…) 2 à 3 fois par semaine.

Enfin, l’aloe vera, bien connu pour ses effets laxatifs, doit être utilisé avec précaution en raison de ses effets secondaires potentiels à doses élevées.

5. Les examens médicaux 

Tout d’abord, une anamnèse détaillée est essentielle. Cela consiste en une discussion sur les habitudes alimentaires, les médicaments pris, l’activité physique, le niveau de stress, et la fréquence des selles etc.

Ensuite, des examens physiques peuvent être effectués pour détecter d’éventuelles anomalies, telles que des masses abdominales ou une distension.

Des examens sanguins peuvent être réalisés pour évaluer les niveaux de certaines hormones thyroïdiennes et pour vérifier la fonction rénale. 

Une analyse des selles peut être réalisée pour vérifier la présence de sang occulte ou d’autres anomalies.

De plus, une coloscopie peut être réalisée pour exclure une maladie inflammatoire de l’intestin ou un cancer du côlon. 

Une échographie abdominale peut être réalisée pour évaluer la présence de masses ou d’autres anomalies dans l’abdomen.

Enfin, une manométrie anorectale peut être effectuée pour évaluer la fonction musculaire de l’anus et du rectum. Ces examens aident à déterminer la cause sous-jacente des problèmes intestinaux et à orienter le traitement approprié. 

L’efficacité de ces compléments alimentaires peut varier d’une personne à l’autre. Il est recommandé de consulter un professionnel de santé avant de commencer tout traitement, surtout si vous avez des problèmes de santé sous-jacents ou si vous prenez d’autres médicaments. 

La diarrhée

La diarrhée se caractérise par des selles liquides et fréquentes devant être évacuées avec un sentiment d’urgence. Elle peut être aiguë ou chronique et peut causer une déshydratation rapide. Tout comme la constipation, elle est souvent le signe d’un problème sous-jacent dans le système digestif.

1. Les symptômes de ces problèmes intestinaux

Lors de problèmes intestinaux, les symptômes de la diarrhée sont faciles à reconnaître. En effet, les selles deviennent plus fréquentes et ont une consistance liquide

Souvent, des douleurs abdominales et des crampes accompagnent ces symptômes. 

D’autres signes peuvent inclure une sensation d’urgence à aller aux toilettes, des nausées et, parfois, une légère fièvre

Il est important de surveiller ces symptômes, car, pour rappel, une diarrhée prolongée peut entraîner une déshydratation.

2. Les causes de ces problèmes intestinaux

La diarrhée peut être causée par divers facteurs. 

Tout d’abord, les infections bactériennes ou virales sont des causes fréquentes. 

Ensuite, des bactéries comme Escherichia coli (E. coli) ou des virus comme le rotavirus peuvent être à l’origine de ces problèmes intestinaux. 

Aussi, les intolérances alimentaires, comme celle au lactose, peuvent également provoquer la diarrhée. 

Parfois, la prise de certains médicaments, tels que les antibiotiques, entraîne des problèmes intestinaux. 

Du côté du microbiote, on sait aujourd’hui que, en cas de diarrhée, il y a présence de bactéries pro-inflammatoires.

Il est plus rare qu’on en parle, mais une des causes peut être la qualité du mucus intestinal (ce fluide visqueux qui sert à lubrifier les intestins et faciliter le transit lors du processus de digestion).

N’oublions pas le stress et l’anxiété qui sont des facteurs qui ne doivent pas être négligés.

Enfin, à l’inverse de la constipation, il faut également se poser la question de l’hyperthyroïdie qui peut être responsable de la diarrhée.

3. Les solutions naturelles pour ces problèmes intestinaux

Traiter la diarrhée naturellement est possible et souvent efficace. Tout d’abord, il est essentiel de rester hydraté. L’eau, les bouillons clairs et les solutions de réhydratation orale aident à compenser la perte de liquides.

Ensuite, il faut repérer à quel moment cela se produit : après repas riche en graisses, après ingestion de lactose, après prise d’alcool ou d’aliments irritants ? Bien sûr, il faut éliminer en conséquence ces aliments.

Surtout ne pas oublier de boire beaucoup d’eau pour éviter la déshydratation, ou des solutions de réhydratation orale.

Enfin, il faut manger des aliments faciles à digérer comme le riz, les bananes, les toasts et les pommes de terre bouillies. A l’inverse, il faut éviter les produits laitiers, les aliments gras, épicés ou sucrés et limiter les crudités.

4. Les compléments alimentaires

Il peut être intéressant, ici également, de prendre du psyllium avec peu d’eau (attention aux risques de ballonnements).

5. Les examens médicaux

Si la diarrhée persiste plus de quelques jours ou s’accompagne de fièvre, il est indispensable de consulter un médecin.

En effet, il peut être important de faire des examens permettant de vérifier qu’il n’y a pas de MICI (maladies inflammatoires chroniques de l’intestin).

Aussi, il possible de faire pratiquer une analyse évaluant l’état du microbiote : la métagénomique. Elle consiste à étudier l’ADN des bactéries, ce que la culture de selles ne permet pas de faire. Cela permet de dresser un inventaire détaillé du microbiote. Ainsi, il sera alors plus aisé de comprendre comment revenir au plus vite l’équilibre.

Syndrome de l’intestin irritable (SII)

Le syndrome de l’intestin irritable (SII) est l’un des problèmes intestinaux les plus courants.

Il se caractérise par un ensemble de troubles fonctionnels comme des douleurs abdominales, des ballonnements, des troubles du transit, sans qu’il y ait de lésions physiques sur la paroi intestinale (non détectée lors de l’examen en tous cas). Plus clairement, cela signifie qu’il n’y a pas d’atteintes des tissus, c’est-à-dire, qu’il n’y a pas de plaies sur la paroi intestinale. Le SII se différencie donc des MICI (Maladies Inflammatoires Chroniques de l’Intestin) qui, elles, montrent des lésions physiques sur la paroi. 

Aussi, les personnes souffrant de SII ressentent souvent une gêne significative au niveau de l’abdomen, sans qu’on détecte des anomalies évidentes.

Néanmoins, on note 3 types de SII :

1. Les symptômes de ces problèmes intestinaux

Les symptômes varient d’une personne à l’autre. Cependant, les symptômes les plus courants comprennent des douleurs et des crampes abdominales, des ballonnements, des gaz excessifs odorants ou non, et des modifications du transit intestinal, telles que la diarrhée ou la constipation. 

Ces symptômes peuvent être intermittents, souvent déclenchés par des facteurs tels que le stress ou certains aliments. 

En outre, des symptômes tels que la fatigue et les maux de tête peuvent également être présents.

Quoi qu’il en soit, il est important de noter que ces problèmes intestinaux peuvent considérablement affecter la qualité de vie des personnes concernées.

2. Les causes de ces problèmes intestinaux

On pense que plusieurs facteurs contribuent à son développement et on ne comprend pas encore bien les causes.

D’autres causes peuvent exacerbés les problèmes intestinaux :

De plus, le stress et les émotions peuvent jouer un rôle significatif dans l’apparition et l’aggravation des symptômes.

Les personnes souffrant de SII ont également une sensibilité accrue au niveau de l’intestin (hypersensibilité viscérale).

Et bien qu’elle ne soit pas encore clairement établie, il ne faut pas ignorer la composante génétique.

3. Les solutions naturelles pour ces problèmes intestinaux

Il existe plusieurs approches pour soulager naturellement le syndrome de l’intestin irritable.

La toute première consiste à bien mastiquer. Ce conseil est simple et pour autant non respecté. Pourtant, une bonne mastication peut faire des miracles sur les problèmes intestinaux !

Ensuite vient l’alimentation qui joue un rôle crucial. Elle doit être riche en fibres solubles et pauvre en aliments irritants.

On recommande également des probiotiques pour améliorer la flore intestinale, mais aussi des remèdes à base de plantes (comme la menthe poivrée) qui ont des propriétés apaisantes sur les muscles intestinaux.

Les tisanes à base de camomille ou de gingembre peuvent aussi soulager ces problèmes intestinaux.

Pas de soulagement du SII sans gestion du stress ! Des techniques de relaxation, telles que la méditation et le yoga, peuvent être bénéfiques. 

L’activité physique régulière contribue également à la santé digestive en réduisant le stress et en favorisant un bon transit intestinal. 

Par ailleurs, pour aider les patients à gérer les aspects émotionnels liés à leurs problèmes intestinaux, il est possible d’avoir recours à des thérapies cognitivo-comportementales.

N’hésitez pas à me consulter pour avoir des conseils personnalisés. En effet, comme nous l’avons vu, les symptômes varient d’une personne à l’autre.

En conclusion, il faut surtout retenir qu’il est :

Ces 3 aspects sont indispensables dans l’amélioration de votre état de santé. Il ne sert à rien d’attendre de bons résultats en ne travaillant que sur un seul axe.

4. Les compléments alimentaires

Concernant le SII, il est difficile de parler précisément de compléments alimentaires. En effet, chaque personne/terrain est différent, ce qui donne des symptômes variés

Certaines personnes auraient besoin d’enzymes digestives, de probiotiques, de prébiotiques, d’autres de travailler sur la production d’acide chlorhydrique par l’estomac, d’autres auraient besoin de compléments nécessaires à la production d’un bon mucus… Bref, la liste est longue ! 

En définitive, il est indispensable de se faire accompagner par un professionnel afin d’adapter un programme personnalisé, visant à soulager les problèmes intestinaux. N’hésitez pas à planifier un premier échange gratuit avec moi, afin que nous échangions sur votre problématique. 

5. Les examens médicaux

Les personnes qui ont été diagnostiquées avec des problèmes intestinaux tels que le syndrome de l’intestin irritable (SII), doivent impérativement faire des examens réguliers.

Des contrôles comme les analyses de sang, les tests de selles, les coloscopies et les endoscopiespermettent de surveiller l’évolution de la maladie et d’ajuster les traitements en fonction des changements dans les symptômes. 

Ils aident également à identifier et à prévenir les complications potentielles, telles que les carences nutritionnelles ou les inflammations chroniques. En outre, ces examens offrent une tranquillité d’esprit. Ils garantissent que l’état de santé est suivi de près et que toute anomalie est rapidement traitée. Ainsi, ces rendez-vous médicaux jouent un rôle clé dans le maintien d’une bonne qualité de vie pour les personnes atteintes de problèmes intestinaux.

Les problèmes intestinaux inflammatoires : les MICI (maladies inflammatoires chroniques de l’intestin)

Les maladies inflammatoires chroniques de l’intestin (MICI), telles que la maladie de Crohn et la rectocolite hémorragique, sont des problèmes intestinaux caractérisés par une inflammation de la paroi d’une partie du tube digestif (qui s’étend de la bouche à l’anus). 

Aussi, cette inflammation résulte d’une dérégulation du système immunitaire intestinal. 

Elles se manifestent toutes deux par des poussées et des périodes de rémissions. 

LA MALADIE DE CROHN

L’inflammation chronique peut affecter n’importe quelle partie du tube digestif. Le plus souvent, elle se localise dans l’intestin.

Certains la classe de maladie auto-immune, d’autres non. On sait surtout qu’elle nécessite une gestion à long terme. 

LA RECTOCOLITE HEMORRAGIQUE

Ici, l’inflammation se localise dans la partie basse du rectum. Pour autant, elle peut plus ou moins remonter dans le côlon. Ici, il est possible de retrouver du sang des les selles.

1. Les symptômes de ces problèmes intestinaux

Ces maladies, bien que différentes dans leur localisation et leur présentation, partagent des caractéristiques communes qui peuvent grandement impacter la qualité de vie des patients.

Les symptômes les plus fréquents incluent des diarrhées urgentes, souvent dures à contrôler, qui peuvent être particulièrement gênantes et limiter les activités quotidiennes. 

Aussi, on retrouve les douleurs abdominales. Elles sont également courantes et varient en intensité et en localisation. Parfois, elles peuvent s’accompagner de crampes sévères.

Un autre symptôme majeur est la fatigue. Cette dernière est souvent causée par l’inflammation chronique et la perte de nutriments essentiels.

Les problèmes intestinaux peuvent également se manifester par des complications dans la région anale, telles que des fissures anales, qui peuvent causer des douleurs et des saignements. 

Dans certains cas, les patients peuvent présenter de la fièvre, signe d’une inflammation active ou d’une infection. 

Une complication plus grave est le risque d’occlusion par sténose digestive (un rétrécissement de l’intestin) pouvant nécessiter une intervention chirurgicale.

Les MICI peuvent aussi avoir des manifestations extra-intestinales. Des migraines et divers problèmes articulaires, comme l’arthrite, sont courants. 

Sur le plan cutané, les patients peuvent développer des affections telles que le psoriasis

Les yeux ne sont pas épargnés. Parfois on retrouve des inflammations oculaires qui provoquent des douleurs et des troubles de la vision. Le foie peut également être touché et entraîner des complications hépatiques.

Enfin, les carences nutritionnelles sont fréquentes chez les personnes atteintes de MICI. L’inflammation chronique et les diarrhées peuvent entraîner une malabsorption des nutriments, nécessitant une attention particulière à l’alimentation et parfois une supplémentation.

2. Les causes de ces problèmes intestinaux

Les causes des MICI sont encore inconnues, mais plusieurs facteurs peuvent contribuer à ces problèmes intestinaux.

Les facteurs environnementaux jouent un rôle important. La pollution, les micro et nanoparticules, et les métaux lourds peuvent altérer le fonctionnement de l’intestin. 

De plus, une alimentation riche en sucres raffinés et en graisses saturées peut irriter la muqueuse intestinale. L’antibiothérapie, surtout durant l’enfance, perturbe également le microbiote intestinal.

Le tabagisme est un autre facteur de risque, en particulier pour la maladie de Crohn. 

Le stress chronique affecte également la santé intestinale. Ces éléments augmentent l’inflammation en affaiblissant les défenses de l’organisme.

L’état du microbiote intestinal est crucial. Il est souvent moins diversifié chez les personnes atteintes de MICI. Cela déséquilibre les fonctions immunitaires. Une souche particulière d’Escherichia Coli, plus adhérente et invasive, est aussi plus présente.

Sur le plan génétique, plus de 150 gènes sont associés aux MICI. Leur impact individuel est modéré, mais ils influencent la réponse immunitaire et la barrière intestinale.

Enfin, un dysfonctionnement du système immunitaire est central dans les MICI. Un système immunitaire mal régulé attaque les cellules de l’intestin. Cela provoque inflammation et des lésions tissulaires.

Cette inflammation peut également causer une hyperperméabilité intestinale, où la barrière intestinale devient moins efficace. En conséquence, des particules indésirables peuvent traverser cette barrière, exacerbant les problèmes intestinaux.

3. Les solutions naturelles pour ces problèmes intestinaux

Diminuer l’inflammation

Elle est primordiale. Il est possible de proposer, dans ce cas, le régime Seignalet. Ce régime exclut les produits laitiers, le gluten et les aliments transformés.

Ensuite, l’optimisation de l’alimentation joue un rôle crucial. En choisissant des aliments riches en nutriments et faciles à digérer, on peut alléger le fardeau sur le système digestif. De plus, il est important d’éviter les carences grâce à une optimisation micro nutritionnelle. En effet, des carences peuvent aggraver les symptômes des MICI.

Renforcer sa barrière intestinale

Un autre point clé est l’optimisation de la barrière intestinale. Avant toute chose, il faut s’assurer que cette barrière est intacte. En cas d’hyperperméabilité intestinale, les autres mesures, y compris les compléments alimentaires, seront beaucoup moins efficaces.

Par ailleurs, la modulation du microbiote est une stratégie importante. Une flore intestinale équilibrée peut aider à réduire les inflammations et à améliorer la digestion.

Limiter le stress oxydatif

Il est également essentiel de limiter le stress oxydatif, qui est très inflammatoire. Des techniques de relaxation, la méditation, le yoga, la respiration et une activité physique régulière peuvent grandement aider à gérer le stress.

Enfin, il est indispensable de soutenir le foie.  

4. Les compléments alimentaires

Tout d’abord, rappelons que toute supplémentation doit se faire suite à un bilan sanguin en accord avec votre médecin. Ici, il est crucial de ne pas manquer de fer (bilan martial), de zinc et de vitamines du groupe B

Aussi, il peut être utile de faire un test du microbiote. Si il révèle beaucoup de bactéries pro-inflammatoires, il est possible d’avoir recours à une antibiothérapie naturelle (origan, ail, berbérine, etc). Selon le profil microbiotique, on propose alors des probiotiques ciblés.

Pour diminuer l’inflammation, la vitamine D est essentielle. Il en est de même pour le statut en oméga 3. Un examen du profil des acides gras érythrocytaires peut mesurer ce statut. Mangez des petits poissons gras (sardines, maquereaux…) 2 à 3 fois par semaine et consommez de bonnes huiles riches en oméga 3 (cameline, lin, noix…).

Des plantes comme le chardon-marie ou le Desmodium peuvent aider à protéger et à soutenir la fonction hépatique, donc le foie.

Enfin, contre le stress oxydant, il pourra être nécessaire de se supplémenter en antioxydants, selon les carences identifiées.

5. Les examens médicaux

Les maladies inflammatoires chroniques de l’intestin (MICI) nécessitent une évaluation approfondie faite par un médecin pour un diagnostic précis et une prise en charge efficace. Voici les examens médicaux essentiels pour identifier et surveiller ces problèmes intestinaux.

Tout d’abord, les signes cliniques sont primordiaux. Les symptômes tels que les douleurs abdominales, la diarrhée chronique, la fatigue et la perte de poids peuvent indiquer la présence de MICI.

Ensuite, la mesure de l’inflammation est cruciale. On utilise couramment le marqueur sanguin de la protéine C-réactive (CRP). Une CRP élevée indique souvent une inflammation active.

De plus, la calprotectine fécale est un marqueur spécifique de l’inflammation intestinale. Un niveau élevé de calprotectine dans les selles peut confirmer la présence d’une inflammation intestinale active.

Pour mesurer l’atteinte physique, il est indispensable de réaliser des examens endoscopiques. La coloscopie permet d’examiner l’intérieur du côlon et de détecter les lésions ou les ulcérations. De plus, on pratique une endoscopie haute pour visualiser l’œsophage, l’estomac et le duodénum, afin de détecter toute atteinte dans ces zones. Parfois, il peut être nécessaire de pratiquer une intervention chirurgicale afin de retirer les segments gravement endommagés du tube digestif.

En outre, il est important de mesurer les potentielles carences nutritionnelles. Les MICI peuvent souvent entraîner des carences en fer et en vitamine B12. Un bilan sanguin permet de vérifier ces niveaux et de corriger les carences éventuelles.

En conclusion, une évaluation médicale complète, incluant des examens spécifiques, est essentielle pour un diagnostic précis et une prise en charge efficace des MICI. Ces examens médicaux, combinés à une approche holistique, offrent une vision complète de l’état de santé du patient, permettant ainsi de mieux gérer les MICI et de réduire leur impact sur la qualité de vie.

L’intolérance au lactose dans les problèmes intestinaux

Le lactose est un sucre qu’on trouve dans tous les produits laitiers, tels que le lait, les yaourts, le beurre et les fromages. De plus, il est présent dans de nombreux produits transformés et plats cuisinés à base de produits laitiers, comme les sauces et les pâtisseries. 

Les personnes intolérantes ne le digèrent pas complètement, ce qui entraîne des problèmes intestinaux.

Ce sucre est un disaccharide qui se compose d’un glucose et d’un galactose. Il est donc le principal sucre du lait et de ses dérivés. 

Aussi, pour le digérer, nous avons besoin d’une enzyme (un petit ciseau qui découpe) appelée la lactase. Cette dernière est produite dans la paroi de l’intestin. Son rôle est de séparer le glucose du galactose pour permettre leur absorption.

Néanmoins, certaines personnes ont un déficit en lactase. Dans ce cas, le lactose ne peut pas être digéré, ce qui crée des désordres.

Jusqu’à l’âge de 2 ans environ, nous produisons généralement suffisamment de lactase. Cependant, après le sevrage, la production de cette enzyme diminue progressivement et, ce, chez la majorité de la population mondiale. Cette diminution varie également selon les individus. Certains adultes conservent une activité lactase élevée. En revanche, d’autres en produisent beaucoup moins avec l’âge.

Ainsi, l’intolérance au lactose varie en fonction de la quantité de lactase produite

1. Les symptômes de ces problèmes intestinaux

Les bactéries de l’intestin grêle fermentent le lactose non digéré. Cela provoque des symptômes digestifs tels que :

Ces problèmes intestinaux peuvent aboutir à de l’inflammation intestinale qui, elle-même, peut amener à une porosité intestinale (voir mon article à ce sujet).

Ces symptômes apparaissent généralement peu de temps après la consommation de produits laitiers contenant du lactose : entre 30 minutes et 2 heures après ingestion.

2. Les causes de ces problèmes intestinaux

Nous l’avons vu, l’intolérance au lactose est un problème de digestion du lactose, due à une production insuffisante de lactase.

La lactase est nécessaire pour décomposer le lactose en sucres plus simples, absorbables par l’organisme.

Plusieurs facteurs, y compris une diminution naturelle de la production de lactase après l’enfance, une maladie intestinale ou un traitement médicamenteux peuvent aboutir à une incapacité à produire suffisamment de lactase.

L’intolérance au lactose peut être présente dès la naissance ou acquise plus tard, par exemple à cause de maladies digestives telles que la maladie cœliaque, la maladie de Crohn ou des gastro-entérites. Cela peut aggraver les problèmes intestinaux déjà présents.

3. Les solutions naturelles pour ces problèmes intestinaux

Éviter les produits laitiers

Éviter les produits laitiers qui contiennent du lactose ; cela inclut le lait, le fromage, la crème, et certains produits transformés. 

Certains produits comme les fromages à pâte dure ou encore le beurre, contiennent peu de lactose. Ils peuvent donc être consommés en petite quantité.  En effet, tout est question de quantité et chacun doit tester sa tolérance !

Pour fabriquer du lait sans lactose, on prend du lait classique et on rajoute dedans de la lactase (pour rappel, il s’agit de l’enzyme qui permet la digestion du lactose). C’est en quelque sorte un lait « prédigéré ».

Apprendre à lire les étiquettes

Il est important pour les personnes intolérantes au lactose de lire attentivement les étiquettes des produits alimentaires pour bien les choisir. Aussi, de nombreux supermarchés offrent maintenant une variété de produits sans lactose, comme le lait, le fromage et le yaourt.

Il également possible de consommer des alternatives au lait, telles que le lait d’amande, le lait de soja, le lait de coco ou le lait de riz. Ces options sont à privilégier car souvent bien tolérées par les personnes intolérantes au lactose. Mais soyez prudent quant aux additifs nocifs ajoutés dans ces produits ! Aussi, il est possible de faire son lait végétal soi-même. YouTube regorge de bonnes recettes !

Suivre des conseils diététiques

En plus d’éviter les produits laitiers contenant du lactose, il peut être utile de suivre ces conseils diététiques :

En cas de doute, il est conseillé de consulter un professionnel de la santé pour établir un plan alimentaire adapté et gérer les symptômes intestinaux.

4. Les compléments alimentaires

En cas d’intolérance au lactose, il est possible de prendre des suppléments de lactase avant de consommer des produits laitiers. Ces suppléments fournissent l’enzyme manquante nécessaire pour décomposer le lactose.

5. Les examens médicaux

Plusieurs test peuvent confirmer l’intolérance au lactose :

Le traitement varie d’une personne à l’autre en fonction de la sévérité des symptômes et de la capacité de l’individu à tolérer le lactose. En cas de doute sur la présence d’une intolérance au lactose, il est conseillé de consulter un professionnel de la santé et de pratiquer le test génétique.

En conclusion, bien que l’intolérance au lactose puisse entraîner des problèmes intestinaux, elle peut être gérée efficacement en évitant les produits laitiers ou en utilisant des alternatives adaptées. Cela permet aux personnes souffrant d’intolérance au lactose de maintenir une alimentation saine et équilibrée tout en minimisant les inconforts intestinaux.

La maladie cœliaque dans les problèmes intestinaux

La maladie cœliaque est une affection auto-immune dans laquelle l’ingestion de gluten provoque des dommages à l’intestin grêle et interfère avec l’absorption des nutriments. Elle peut entraîner une variété de symptômes dont des problèmes intestinaux significatifs.

1. Les symptômes de ces problèmes intestinaux

Les symptômes de la maladie cœliaque peuvent varier d’une personne à l’autre. Cependant, certains symptômes sont courants. Ils peuvent être digestifs, non digestifs et même neuronaux.

Les symptômes digestifs

Les symptômes non digestifs

Symptômes neuronaux 

Contrairement au lactose, le gluten est toxique. Il peut :

Il est important de noter que certains individus peuvent être asymptomatiques ou présenter des symptômes très légers, ce qui peut rendre le diagnostic plus difficile. 

2. Les causes de ces problèmes intestinaux

Bien que la maladie cœliaque soit principalement génétique, les pratiques modernes de production alimentaire et les facteurs environnementaux jouent un rôle crucial dans son déclenchement et son aggravation.

L’hérédité

La maladie cœliaque a une composante héréditaire significative. Les membres de la famille au premier degré (parents, frères et sœurs, enfants) d’une personne atteinte de la maladie cœliaque ont environ 10% de chances de développer la maladie eux-mêmes, comparé à environ 1% dans la population générale.

La consommation de gluten

Le gluten est une protéine présente dans le blé, l’épeautre, le petit épeautre, l’orge, le seigle, le kamut, l’avoine…. Ce mot « gluten » est d’origine latine et signifie « colle ». Il est essentiel pour faire lever la pâte du pain par exemple, et lui donner une texture élastique semblable à de la colle.

C’est une matière première peu onéreuse d’où son utilisation massive. 

Même chez un individu ne souffrant pas d’intolérance, le gluten aura parfois une action « papier de verre »sur la paroi intestinale la rendant poreuse. Or, l’intégrité de notre muqueuse intestinale est une condition majeure au maintien de notre santé.

Dans les causes, on retrouve en premier lieu, le blé qui a été modifié au fil du temps par la sélection des grains les plus gros, ce qui a quadruplé son nombre de chromosomes. Cette modification rend le blé plus difficile à digérer pour nos enzymes intestinales, restées les mêmes que celles de nos ancêtres.

Aussi, la production industrielle de certains de nos aliments utilise des variétés de blé plus riches en gluten, ce qui rend la farine plus élastique et facilite la levée, mais la rend aussi plus difficile à digérer. Les additifs chimiques ajoutés rendent (par exemple) le pain moins digeste que celui fabriqué de manière traditionnelle. La production rapide et rentable nuit à notre santé, car faire par soi-même demande du temps et des efforts.

Les facteurs environnementaux et immunitaires

Dans un second temps, viennent s’ajouter le problème des pesticides comme le glyphosate (Roundup), utilisés dans la culture du blé, qui inhibent certaines enzymes digestives, perturbent la synthèse des acides aminés, et causent des carences en fer, cobalt et cuivre. Ces effets peuvent provoquer des intolérances au gluten et des problèmes intestinaux.

De plus, l’utilisation excessive d’antibiotiques dans l’élevage industriel et les traitements médicaux inappropriés affectent la flore intestinale, réduisant ainsi la capacité à digérer le gluten correctement.

Enfin, les infections virales et le stress (encore lui !), même si ces déclencheurs varient d’une personne à l’autre.

3. Les solutions naturelles pour ces problèmes intestinaux

Eviter le gluten

Eviter le gluten est la mesure la plus importante et efficace. Cela signifie éviter le blé, l’orge, le seigle et certains autres grains qui contiennent du gluten. Inévitablement, cela va permettre de réduire l’inflammation et de favoriser la guérison de l’intestin. Ceci implique de se concentrer sur des aliments naturellement sans gluten comme les fruits, les légumes, les viandes, les poissons, les produits laitiers non transformés, les légumineuses et les céréales sans gluten comme le riz, le maïs, le quinoa, le sarrasin et le millet.

Aussi, l’un des principaux défis de la cuisine sans gluten est de recréer les effets uniques et savoureux apportés par le gluten, sinon les préparations deviennent friables. Il faut par conséquent trouver des astuces pour obtenir les mêmes résultats.

Pour ce, dans vos préparations, vous pouvez utiliser les gommes sans gluten (gomme de guar et la gomme de xanthane) qui sont naturellement sans gluten. Elles agissent sur la texture mais ce sont des additifs, alors il ne faut pas en abuser.

Aussi, la levure de boulanger peut être utilisée car elle est naturellement sans gluten.

Autre astuce, le bicarbonate de sodium qui est un composant de la levure chimique. Activé par la chaleur, il dégage du dioxyde de carbone qui aère la pâte.

Pensez aussi aux blancs d’œufs montés en neige et bien fermes ; ils permettent d’aérer votre pâte également.

Bien lire les étiquettes

Il est important de bien apprendre à lire les étiquettes et comprendre les logos :

Bien entendu, il faut également bien étudier la liste des allergènes et ingrédients. Souvent, ces derniers sont mis en gras, en italique et sont soulignés.

Chaque produit doit être vérifié car la recette peut changer. En cas de doute, laissez le produit de côté.

Consulter un diététicien

Il est possible de consulter un diététicien spécialisé dans les régimes sans gluten, qui peut aider à planifier des repas équilibrés et nutritifs. Un diététicien peut fournir des conseils sur les substituts sans gluten et aider à éviter les carences nutritionnelles.

4. Les compléments alimentaires

Certaines carences nutritionnelles peuvent survenir en raison de l’absorption réduite des nutriments ou des restrictions alimentaires. Voici quelques compléments qui peuvent être bénéfiques :

5. Les examens médicaux

Pour diagnostiquer la maladie cœliaque, plusieurs examens médicaux sont généralement utilisés. Voici les principaux :

Les tests sanguins : dosage des certains anticorps anti-tTG-IgA. C’est le test de dépistage le plus couramment utilisé. Un taux élevé d’anticorps suggère la présence de la maladie cœliaque.

Dosage des anticorps anti-endomysium (EMA-IgA) : ce test est très spécifique à la maladie cœliaque et est souvent utilisé pour confirmer un résultat positif du test tTG-IgA.

Dosage des anticorps anti-gliadine déamidée (DGP-IgA et DGP-IgG) : utilisés parfois, surtout chez les enfants de moins de 2 ans ou chez les personnes présentant une déficience en IgA.

Autre examen, la biopsie de l’intestin grêle. Si les tests sanguins suggèrent une maladie cœliaque, une endoscopie avec biopsie de l’intestin grêle est généralement effectuée pour confirmer le diagnostic. Un endoscope est inséré par la bouche jusqu’à l’intestin grêle pour prélever des échantillons de tissu. Les biopsies montrent des signes de dommages aux villosités intestinales typiques de la maladie cœliaque.

Enfin on peut également avoir recours aux tests génétiques. Ils peuvent être utilisés pour exclure la maladie cœliaque. La plupart des personnes atteintes de cette maladie portent les gènes HLA-DQ2 ou HLA-DQ8. Cependant, la présence de ces gènes ne confirme pas la maladie (car beaucoup de personnes sans la maladie cœliaque possèdent également ces gènes), mais leur absence rend la maladie cœliaque très improbable.

Sans oublier la surveillance médicale ; il est important de consulter régulièrement un médecin pour surveiller l’état de santé général et s’assurer que le régime sans gluten est efficace. Des tests sanguins réguliers peuvent aider à vérifier l’absence de carences en nutriments et le bon fonctionnement de l’intestin, afin d’éviter tous problèmes intestinaux.

Conclusion sur les problèmes intestinaux

On ne le dira jamais assez, la clé de la santé est l’hygiène de vie et la meilleure des médecines est la prévention !!!

Aussi, tout un chacun sait que tout commence dans l’intestin (sauf problématiques génétiques). Et pour prévenir de nombreux problèmes intestinaux, il est important d’adopter une bonne hygiène de vie.

L’hygiène de vie et les problèmes intestinaux

Les problèmes intestinaux peuvent être gênants et inconfortables. Souvent, ils peuvent souvent être gérés et même évités avec les bons choix de mode de vie

Il est important de suivre ces conseils simples pour une meilleure santé intestinale et un confort quotidien optimal. 

Bien sûr, il ne faut pas oublier de consulter un professionnel de santé si vous avez des symptômes persistants ou graves

Votre bien-être dépend en grande partie de la santé de votre système digestif, alors prenez-en soin avec attention et diligence.

Prenez soin de lui, et il prendra soin de vous !!!

Comment vous faire aider face à vos problèmes intestinaux ?

Si vous ressentez des symptômes liés à la porosité intestinale ou si vous souhaitez obtenir un accompagnement naturel et personnalisé pour améliorer votre bien-être intestinal, n’hésitez pas à prendre rendez-vous pour un suivi naturopathique avec moi. Ainsi, nous élaborerons un plan de soins adapté à vos besoins spécifiques, afin de vous aider à retrouver une santé optimale.

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En tant que naturopathe spécialisée dans le digestif, je suis en mesure de comprendre les symptômes, et offrir un soutien adapté pour améliorer la qualité de vie des personnes qui souffrent de problèmes intestinaux. Il est par contre indispensable de consulter un médecin avant toute consultation en naturopathie. Une approche holistique, prenant en compte toutes les manifestations de ces problèmes intestinaux, est essentielle pour une prise en charge efficace.

Comprendre les multiples causes permet d’adopter une approche globale, préventive et curative des problèmes intestinaux. En tant que naturopathe spécialisée, j’intègre ces connaissances pour proposer des solutions adaptées à chaque client, favorisant ainsi une amélioration de la qualité de vie.

Il est important de souligner que ces mesures nécessitent un suivi médical. Ne prenez aucun des compléments sans l’avis d’un professionnel de santé qualifié. 

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